Les plaquettes CNRD précédentes
Depuis 2010, le MDR&D propose chaque année une plaquette consacrée au CNRD afin d'aider les enseignants et les élèves haut-garonnais à préparer ce concours.
Retrouvez ci-dessous les plaquettes des différentes années scolaires :
Année 2021-2022 : La fin de la guerre. Les opérations, les répressions, les déportations et la fin du IIIème Reich (1944-1945)
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Années 2019-2020 et 2020-2021 : Répressions et déportations en France et en Europe, 1939-1945. Espaces et histoire
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Pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ont créé des outils et des espaces de répression et de déportation d’une ampleur sans précédent sur un territoire aussi vaste que l’Europe. Avec l’aide des gouvernements collaborateurs des pays et territoires occupés, leur acharnement à atteindre leurs buts : l’extermination de leurs prétendus ennemis et des personnes qu’ils avaient désignées comme inférieures a conduit à l’extermination de plusieurs millions de personnes de nationalités différentes. Plus de 5millions de juifs, des centaines de milliers de Tsiganes, des centaines de milliers d’opposants politiques mais aussi des personnes handicapées, des malades mentaux, des homosexuels, des prisonniers de guerre soviétiques, des témoins de Jéhovah, etc trouvèrent la mort dans le système concentrationnaire et par la répression. Aujourd’hui encore le souvenir de ces répressions et déportations est présent dans nos mémoires, en constantes évolutions
Année 2017-2018 : S'engager pour libérer la France
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La Résistance fut « une aventure incertaine » comme le disait le résistant Claude Bourdet. Pourtant partis de rien, mais à force d’efforts, de courage et de sacrifices, les résistants, les Français Libres et les Alliés, parce qu’ils se sont unis au-delà de leurs différences, ont transformé une situation catastrophique en une réalité possible : la Libération. Leur engagement ne s’est pas limité à la reconquête de l’indépendance territoriale du pays. Les résistants se sont aussi engagés pour imaginer et reconstruire une nouvelle France. Dès le lendemain de la défaite, ils ont cherché à tirer très vite les leçons du désastre. Ils ont engagé, dans la clandestinité, des réflexions et des débats pour faire renaître la République, la démocratie. Pour créer une nouvelle société plus juste et plus humaine. Le chemin qu’ils ont parcouru en seulement quatre ans impressionne et force le respect.
Découvrez tous les aspects du thème du Concours de la Résistance et de la Déportation 2018 "S'engager pour libérer la France" en téléchargeant la plaquette pédagogique du Musée.
Année 2016-2017 : La négation de l'homme dans l'univers concentrationnaire nazi
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Durant la seconde guerre mondiale, l’Allemagne nazie a tué plusieurs millions de personnes en Europe : des soldats évidemment, mais aussi des civils pour différentes raisons. Cela concerne plus de 6 millions de juifs, des centaines de milliers de Tsiganes, des centaines de milliers d’opposants politiques mais aussi des handicapés, des malades mentaux, des homosexuels, des prisonniers de guerre soviétiques, des témoins de Jéhovah, etc. Derrière chaque chiffre, il y a un nom, un visage, un parent, un voisin, une connaissance. En tuant ces personnes, et plus encore en créant un système fait pour assassiner, les nazis ont nié la vie, ils ont nié le droit à des hommes et à des femmes de vivre, en refusant ce qu’ils étaient, ce qu’ils pensaient, ce qu’ils croyaient, ce qu’ils faisaient.
Année 2015-2016 : Résister par l'art et la littérature
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Dans la mémoire collective des Français, la Résistance a longtemps été celle des armes, des mitraillettes Sten, des attentats, etc. Bien sûr, cette Résistance est bien réelle. Mais elle est aussi beaucoup plus large et prend des formes diverses. L’art et la littérature ne pouvaient en être tenus éloignés. Des artistes et écrivains se sont battus avec ces armes. Ils se sont servis de leurs talents pour résister à l’occupant, à la dictature de Vichy, à l’enfermement, à la Déportation.
Année 2014-2015 : La libération des camps nazis, le retour des déportés
et la découverte de l'univers concentrationnaire
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Le 27 janvier 1945, l’Armée rouge entre dans Auschwitz-Birkenau, l’un des six centres d’extermination en Pologne, et rend à la liberté les déportés laissés dans le camp. Soixante-dix ans après cette date devenue symbolique, nous commémorons la libération de tous les camps nazis : le 27 janvier 2015 marquera ainsi le début des cérémonies du souvenir. Elles se prolongeront au printemps 2015 aux dates anniversaires des libérations des camps de concentration notamment en Allemagne et en Autriche.
Année 2013-2014 : La libération du territoire et le retour à la République
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Libérer le territoire est indispensable pour la Résistance. L’occupation nazie est évidemment insupportable, humiliante, inacceptable. Mais au-delà des objectifs militaires et territoriaux, la Résistance a, dès le début, envisagé l’après-guerre : la Libération doit impliquer le retour à la République. Elle doit permettre de la refonder avec ses valeurs de Liberté, d’Égalité et de Fraternité. Tel était l’objectif de la Résistance, tel est l’héritage qu’elle nous a confié.
Année 2012-2013 : Communiquer pour résister 1940-1945
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Communiquer est avant tout une façon d’exister, paramètre essentiel pour les résistants. Phénomène minoritaire, la Résistance reste longtemps isolée et limitée. La clandestinité l’oblige à l’ombre et à la discrétion. Mais il faut qu’elle montre qu’elle existe, qu’il est des personnes qui refusent de se soumettre, des personnes qui tentent de faire vivre leurs idées et leurs combats face aux nazis et au régime de Vichy. La Résistance a avant tout à cœur de prouver qu’on ne peut la réduire au silence. Elle doit se manifester pour vivre aux yeux de la population mais aussi aux yeux des autres résistants. Pour être connu et reconnu. Communiquer pour résister revient donc à bâtir des ponts, à établir des liens.
Année 2011-2012 : Résister dans les camps nazis
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Résister dans les camps n’a pas été le cas pour tous les déportés. Cela reste le fait d’une minorité qui, au gré des circonstances, a pu dépasser le stade du choc, de l’hébétude, de l’affaiblissement, de l’avilissement que connaissent tous les détenus. Pour certains déportés, résister au camp est la poursuite de leur engagement contre le nazisme. Pour d’autres, cela relève de la découverte. Pourtant, malgré les différences, cette résistance est toujours une question de dignité et de survie. Actes de solidarité, soutien moral, créativité, actions organisées, évasions, recueil de preuves, sabotage, refus de travailler, révoltes… Les formes de résistance apparues dans les camps sont nombreuses, diverses, surprenantes, ingénieuses, cruciales, vitales.
Année 2010-2011 : La répression de la Résistance en France par les autorités d'occupation et le régime de Vichy
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« Rue Alphonse Coll Héros de la Résistance Mort en déportation », « Place Roger Arnaud Mort pour la France », « Rue des Martyrs de la Libération »… Au gré des rues, à Toulouse, comme dans de nombreuses communes, il n’est pas rare d’apercevoir les traces des sacrifices des hommes et femmes de la Résistance. Stèles, monuments, plaques de rue, commémorations ponctuent le paysage de nos villes et villages. Bien souvent, nous passons devant sans les voir, sans y faire attention, sans comprendre ce qu’ils nous disent. L’histoire de la Résistance, et de sa répression, nous entoure au quotidien, si nous savons la distinguer et en saisir le sens.
Attention ! Nous signalons une erreur de légende en page 38 de ce document. En effet, ce n’est pas Léon Achiary qui est représenté mais René Barthe, résistant toulousain membre de "Combat". Nous vous prions de bien vouloir nous excuser pour cette erreur.